CE SONT DES RECOMMANDATIONS PROVISOIRES. LES LIGNES DIRECTRICES ET RECOMMANDATIONS FINALES SERONT PUBLIÉES À UNE DATE ULTÉRIEURE.
Si vous présentez des symptômes comme une bosse au sein, ces recommandations ne s’appliquent pas à vous. Veuillez consulter un professionnel de la santé.
Vous pourriez être surpris par les faits concernant le dépistage du cancer du sein. Le dépistage du cancer du sein présente à la fois des bénéfices et des préjudices.
Le dépistage du cancer du sein est un choix personnel.
Nous voulons vous donner les renseignements nécessaires pour prendre la décision qui vous convient.
Le public aura jusqu’au 30 août 2024 pour formuler des commentaires au sujet des recommandations provisoires et des outils de prise de décision.
Vérifier la présence d’une maladie en l’absence de symptômes
Un test diagnostique utilisé en cas de symptômes, comme une grosseur au sein
Nous recommandons aux femmes âgées de 40 à 74 ans de s’informer sur les bénéfices et les préjudices du dépistage du cancer du sein afin de prendre la décision qui leur convient. Elles devraient être informées de l’incidence que l’âge, les antécédents familiaux, l’appartenance ethnique et la densité mammaire (si celle-ci est connue) peuvent avoir sur les bénéfices et préjudices du dépistage.
Lisez les recommandations précises ici.
Discutez avec votre professionnel de la santé de ce qui vous convient ou utilisez nos outils pour vous informer.
Si une femme âgée de 40 à 74 ans reçoit cette information et souhaite se soumettre à un dépistage, elle devrait se voir proposer un dépistage par mammographie tous les deux ou trois ans.
« Nous voulons tous trouver des moyens de réduire le fardeau de cette maladie et d’améliorer les résultats. Les personnes pourraient trouver que les renseignements sur le dépistage du cancer du sein peuvent surprendre : le dépistage présente des bénéfices possibles, mais aussi des préjudices. Nous voulons que les femmes disposent de tous les renseignements nécessaires pour prendre la décision qui leur convient. »
Dre Guylène Thériault, omnipraticienne, professeure de médecine factuelle et présidente du Groupe d’étude canadien et du groupe de travail sur le cancer du sein.
Le Groupe d’étude canadien a procédé à un examen complet des données de plus de 165 études, y compris des études observationnelles récentes, des essais contrôlés randomisés, des modélisations mathématiques, des données de Statistique Canada et d’autres sources, afin de s’assurer qu’il disposait des données les plus récentes pour étayer les recommandations provisoires.
Le groupe de travail sur les lignes directrices comprenait quatre experts du cancer du sein – un oncologue médical, un radio-oncologue, un chirurgien en oncologie et un radiologue – trois patients-partenaires, ainsi que des omnipraticiens, des infirmières praticiennes, des équipes chargées de l’examen des données et d’autres experts.
** Risque modérément élevé : Personnes ayant des seins denses de catégorie C ou D ou ayant des antécédents familiaux modérés (pas plus d’un parent au premier degré ou deux parents au second degré ayant reçu un diagnostic après l’âge de 50 ans). Apprenez-en davantage.
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